Edito Décembre 2024
Jubilé 2025 : célébrons la naissance du Fils de Dieu !
Le pape François, fidèle à la tradition de l’Eglise enracinée dans les prescriptions bibliques (Lev 25, Lc 4,18-19) a déclaré 2025 « Année Sainte » : Jubilé de l’incarnation du fils de Dieu, fêté chaque 25 ans depuis le XVIe siècle. C’est un événement d’Eglise qui se déroule sur une année entière et qui concerne tous les catholiques, fait de prières et de gestes concrets, comme l’Ouverture de la Porte Sainte par le Pape qui constitue le début officiel des célébrations. Il revient à chacun d’en saisir l’opportunité en participant aux événements proposés par nos paroisses, nos diocèses ou par le Vatican. Je vous invite à lire la Bulle ’indiction du Jubilé ordinaire 2025 Spes non confundit, publiée par le Pape François : puisse l’espérance remplir le cœur de ceux qui liront cette lettre
Je retiens particulièrement les aspects suivants :
Un temps de conversion, au cœur du monde : « La dimension spirituelle du Jubilé invite à la conversion » et doit être « conjuguée avec les aspects fondamentaux de notre vie sociale. » L’année Sainte doit être « célébrée avec une foi intense, une vive espérance et une charité active ».
L’espérance, message central du jubilé : « la vie chrétienne est un chemin qui a besoin de moments forts pour nourrir et fortifier l’espérance, compagne irremplaçable qui laisse entrevoir le but : la rencontre avec le Seigneur Jésus, notre espérance. » « Au cours de l’année jubilaire, nous serons appelés à être des signes tangibles d’espérance pour de nombreux frères et sœurs qui vivent dans des conditions de tresse. »
Les pèlerinages : « Je pense à tous les pèlerins de l’espérance qui arriveront à Rome pour vivre l’Année Sainte et à ceux qui, ne pouvant se rendre dans la ville des apôtres Pierre et Paul, la célébreront dans les Églises particulières. » « Ce n’est pas un hasard si le pèlerinage est un élément fondamental de tout événement jubilaire. Se mettre en marche est caractéristique de celui qui va à la recherche du sens de la vie. Le pèlerinage à pied est très propice à la redécouverte de la valeur du silence, de l’effort, de l’essentiel. » Chacun pourra vivre, je l’espère, un des pèlerinages envisagés par la paroisse : Ste Anne d’Auray le imanche 30 mars avec les diocèses bretons, pèlerinage paroissial à St Brieuc le samedi 24 mai, pèlerinage à Paray-le-Monial fin juillet ou Lourdes en septembre, et Rome en novembre ?
Un temps de conversion, au cœur du monde : « La dimension spirituelle du Jubilé invite à la conversion » et doit être « conjuguée avec les aspects fondamentaux de notre vie sociale. » L’année Sainte doit être « célébrée avec une foi intense, une vive espérance et une charité active ».
L’espérance, message central du jubilé : « la vie chrétienne est un chemin qui a besoin de moments forts pour nourrir et fortifier l’espérance, compagne irremplaçable qui laisse entrevoir le but : la rencontre avec le Seigneur Jésus, notre espérance. » « Au cours de l’année jubilaire, nous serons appelés à être des signes tangibles d’espérance pour de nombreux frères et sœurs qui vivent dans des conditions de tresse. »
Les pèlerinages : « Je pense à tous les pèlerins de l’espérance qui arriveront à Rome pour vivre l’Année Sainte et à ceux qui, ne pouvant se rendre dans la ville des apôtres Pierre et Paul, la célébreront dans les Églises particulières. » « Ce n’est pas un hasard si le pèlerinage est un élément fondamental de tout événement jubilaire. Se mettre en marche est caractéristique de celui qui va à la recherche du sens de la vie. Le pèlerinage à pied est très propice à la redécouverte de la valeur du silence, de l’effort, de l’essentiel. » Chacun pourra vivre, je l’espère, un des pèlerinages envisagés par la paroisse : Ste Anne d’Auray le imanche 30 mars avec les diocèses bretons, pèlerinage paroissial à St Brieuc le samedi 24 mai, pèlerinage à Paray-le-Monial fin juillet ou Lourdes en septembre, et Rome en novembre ?
L’indulgence et la miséricorde : l’expérience du pardon de Dieu « ne peut qu’ouvrir le cœur et l’esprit à pardonner. Pardonner ne change pas le passé et ne peut modifier ce qui s’est déjà passé. Mais le pardon permet de changer l’avenir et de vivre différemment, sans rancune, sans ressentiment et sans vengeance. L’avenir éclairé par le pardon permet de lire le passé avec des yeux différents, plus sereins, même ’ils sont encore embués de larmes. »
Prions pour la fécondité de cette Année Sainte,
P. Johan Visser +
P. Johan Visser +
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